Le futur s’annonce hostile, Emmanuel Eggermont l’a bien compris. Pour y faire face, le chorégraphe répond par la puissance du collectif. Il imagine une ode optimiste à la création en commun avec une pièce hétéroclite, construite à partir des références artistiques proposées par des jeunes de 18 à 25 ans.
Le futur s’annonce hostile, Emmanuel Eggermont l’a bien compris. Pour y faire face, le chorégraphe répond par la puissance du collectif. Il imagine une ode optimiste à la création en commun avec une pièce hétéroclite, construite à partir des références artistiques proposées par des jeunes de 18 à 25 ans.
Face à une époque troublée, le chorégraphe puise dans l’énergie des nouvelles générations pour composer une performance dansée via un dispositif de composition chorégraphique, scénographique et musicale instantanée. Tout part d’un graffiti aperçu sur un mur : « La beauté sauvera le monde ». Inspiré par cette déclaration, Emmanuel Eggermont a invité des jeunes de 18 à 25 ans à lui confier les œuvres, souvenirs et références qui les portent. Poèmes, photographies, films marquants… Autant de fragments de mémoire qui forment une capsule temporelle, esquissant un portrait sensible d’une génération en quête de sens.
Avec ses fidèles collaborateur·rices artistiques, il façonne à partir de cette matière une gestuelle, une atmosphère, une musicalité. Son corps devient un refuge pour ces éclats de jeunesse où l’art s’affirme comme un moteur de résilience et de renouveau.
En collaboration avec Boom’Structur, pôle chorégraphique
Dans le cadre de la Biennale de la danse de Lyon et de ses Rebonds en région.