Au XIIIème siècle, sur les bases romanes, on élève un édifice gothique dessus. De cet édifice roman subsiste le portail d’entrée méridional (peinture du XVIIème).
De cette église, on verra aussi un grand arc triomphal (reposant sur des colonnes engagées surmontées de chapiteaux à motifs végétaux). Cet arc marquait(…)
Au XIIIème siècle, sur les bases romanes, on élève un édifice gothique dessus. De cet édifice roman subsiste le portail d’entrée méridional (peinture du XVIIème).
De cette église, on verra aussi un grand arc triomphal (reposant sur des colonnes engagées surmontées de chapiteaux à motifs végétaux). Cet arc marquait selon la tradition l’entrée du choeur roman d’origine avant les transformations ultérieures.
Des clefs de voûte à personnages et aux motifs végétaux complètent cet ensemble ornemental que l’on peut dater du XIVème siècle.
Des travaux entrepris au XVIIème siècle ne permettent pas de dire si le choeur roman d’origine a pu être conservé. Deux chapelles latérales seront construites au XVème, les travées de la nef nord datent du XVI et XVIIème, le retable peut être daté entre 1720 et 1740. En 1735, on compte à Saint-Pardoux 1 300 communiants (totalité de la population adulte), Ste-Anne est la patronne de l’église, fêtée le dernier dimanche de juillet.
Cette église est étonnante par son plan complètement atypique, elle n’est pas construite comme une croix et elle n’est pas orientée à l’Est mais au Nord.
Lorsque l’église n’est pas ouverte, la clef est disponible sur demande dans la maison située en face de l’entrée (maison avec véranda).
Des visites guidées sont proposées pendant les vacances scolaires.
